Test : Bayonetta (Playstation 3)


Bayonetta
Bayonetta
Beat'em up
L'année 2009 arrive à son terme, et c'est au final une année bien calme en sorties Sega à laquelle on aura eu droit. Cette année aura aussi été l'année de tous les records en termes de décalages pour les sorties de jeux. Qu'à cela ne tienne, Bayonetta aura échappé à ce sort là, du moins au Japon. Fruit du partenariat entre Sega et Platinum Games, le titre ne peut échapper à la comparaison avec une autre série importante du beat'em all : Devil May Cry. Il faut dire qu'avec Hideki Kamiya aux commandes, à savoir le créateur du premier Devil May Cry, mais aussi de très nombreux jeux reconnus comme étant des réussites (Viewtiful Joe, Okami) les attentes étaient importantes. Qui est donc cette Bayonetta, et le jeu méritait-il tout ce tapage dans la presse spécialisée ? Sega a-t-il bien fait de tout miser sur ce titre ? Objectif-Sega vous propose une première réponse à méditer d'ici la sortie française du jeu, en janvier.

I'm a bi... a witch.

Pour peu que l'on jette un coup d'oeil à l'actualité des jeux-vidéo, même occasionnellement, qui a pu échapper au raz-de-marée Bayonetta qui s'est abattu ces derniers mois ? Mis en avant à tous les salons importants, avec notamment un cosplay absolument mémorable à l'E3, mais également par le biais de trailers et images diffusés à rythme régulier, Bayonetta ressort clairement comme étant le plus gros jeu de Sega depuis Sonic Unleashed.

Le titre de Platinum Games met en scène une sorcière sexy qui extermine des anges. Le scénario est construit autour du paradis, de l'enfer et du purgatoire. Trois mondes que le paradis cherche à assembler afin de recréer l'univers de zéro. Bayonetta, qui est donc l'héroïne du jeu, sort d'un long sommeil qui l'a rendu amnésique, mais elle retrouvera la mémoire petit à petit par le biais de flashbacks. Elle possède également une rivale que l'on rencontrera régulièrement dans le jeu et qui se bat de la même façon qu'elle. D'autres protagonistes interviendront, dont le journaliste et détective Luka, un beau gosse qui traque Bayonetta, ou encore Cereza, une petite fille qui ressemble beaucoup à l'héroïne. Le scénario est élaboré autour d'objets nommés "les yeux du monde" et qui jouent un rôle capital dans la reconstitution de l'univers.

Si le scénario dans les grandes lignes n'est pas d'une grande originalité, il se suit agréablement jusqu'au bout, sachant qu'il réserve tout de même son lot de rebondissements. La mise-en-scène magistrale des évènements joue un facteur important dans la réussite de cette narration. Que ça soit des scènes classiques ou un type de scène à base d'images fixes, les développeurs ont soigné le moindre aspect, et ont su marier qualité et quantité. Les scènes faisant avancer l'histoire sont donc nombreuses et se regardent avec plaisir, d'autant plus qu'il y a toujours la petite pointe d'humour qu'il faut à chaque fois. À ce niveau là, Bayonetta collectionne les clins d'oeil, dont certains sont très drôles. Je pense notamment au clin d'oeil fait à Assassin's Creed lors de la première rencontre avec Luka.

First climax, second kleenex

La démo sortie il y a peu sur le Playstation Store japonais avait permis de se faire un premier avis sur le titre. On y découvrait l'héroïne ainsi que quelques phases de gameplay. D'ailleurs tout le monde n'adhérera pas à ce personnage qui fait clairement dans l'exagéré. Que ça soit ses proportions, ses pauses ultra osées ou encore sa tenue hyper moulante, tous ces aspects risquent de partager le public. Cela dit, j'étais au départ très sceptique quant à la possibilité d'apprécier Bayonetta mais on finit par s'attacher au personnage, plus travaillé qu'on ne pouvait le penser au départ. La scène de sa rencontre avec Cereza est notamment l'un des moments qui contribuent à effacer un peu cet aspect "je me la pète" pour la rendre plus humaine. Cependant le jeu n'est pas à mettre entre toutes les mains, il est écrit en gros 18 ans sur la jaquette euro après tout.

Sans vouloir tuer le suspense, Bayonetta est un jeu formidable dans la mesure où tout ce qui relève du gameplay a été fait avec beaucoup de soin. Ainsi l'héroïne possède un panel de coups vaste et très simples à utiliser, le level-design démentiel vous fait parcourir des lieux aussi improbables qu'ils sont magnifiques, et l'ensemble est couplé à un dynamisme rarement vu dans un jeu. Tout bouge à l'écran. D'ailleurs le début du jeu donne le ton, car tandis que le narrateur raconte le début de l'histoire, on contrôle Bayonetta dans des décors qui s'effondrent, tout en affrontant nos premiers anges.

Et ce déluge d'effets visuels, Bayonetta en fera usage jusqu'au bout, livrant par la même occasion quasiment une vingtaine de niveaux (appelés chapitres), ce qui est beaucoup plus que tous les jeux du genre. Les stages sont découpés en versets, qui sont de petites portions dans lesquelles on affronte les hordes d'anges venus tout droit du paradis. Chaque nouvel ennemi est introduit par une courte scène du plus bel effet. Enfin, chaque verset donne lieu à une note, car Bayonetta est un jeu basé sur le scoring. Il sera par conséquent très difficile d'avoir de bonnes notes en découvrant le jeu, car ce dernier est d'une redoutable difficulté, même en normal. Le jeu est également ponctué de QTE (Quick Time Events, qui consistent à appuyer sur les bonnes touches au bon moment) qu'il sera difficile de réussir les premières fois tant le timing est serré, et qui provoqueront une mort pure et simple en cas d'échec.

Angel May Cry

Les possibilités mises à la disposition du joueur pour trucider les anges sont incroyablement nombreuses et... subtiles. Bayonetta possède une barre de vie, ainsi qu'une jauge de magie. Cette dernière permet de déclencher des "attaques sadiques" qui sont des finish-moves ultra violents. Les attaques sadiques sont nombreuses, elles dépendent du type d'ennemi, du contexte (il est de face, de dos, au sol ou en l'air) et requièrent en général de marteler un bouton. Contre les boss, ces attaques deviendront gigantesques, tandis que Bayonetta verra sa tenue s'évaporer. En effet ce sont ses cheveux qui constituent la tenue de la miss, et ses attaques sont exécutées avec ses cheveux. Tout est donc d'une logique implacable.

Du côté des touches, le bouton carré permet de tirer au pistolet, triangle effectue une attaque au poing, rond une attaque au pied, croix permet de sauter. R2 est une touche très importante puisque c'est l'esquive. L2 permet de changer d'arme. L1 sert à la provocation, et R1 à locker mais à vrai dire on ne s'en sert jamais car il y a déjà un lock automatique très pratique.

Les esquives sont d'une grande importance dans Bayonetta car le jeu se base uniquement sur ça pour la défense. Il n'y a pas de garde, il faut savoir esquiver au bon moment. Mais là où le titre est bien conçu, c'est qu'on peut esquiver tout le temps, même au milieu d'un combo. Mieux encore, il est possible d'esquiver et de poursuivre son combo après. Une esquive faite au dernier moment déclenchera un "envoutement". Durant cette période, le temps est figé et on peut s'acharner sur les ennemis. L'envoutement est l'élément clef de la réussite dans Bayonetta, et seule une maîtrise totale de l'esquive permet de terminer les stages avec de bons scores et sans mourir. Il faut également coupler à cela des combos très longs et ininterrompus.

What are you buying ?

Comme il est toujours bien pratique d'avoir un vendeur pour acheter des armes, des accessoires et des objets dans ce genre de jeu, Bayonetta n'y échappe pas. Rodin est un grand type noir avec des lunettes dont la réputation en enfer n'est plus à faire. Il pourra non-seulement fournir de nouvelles armes à l'héroïne en échange de précieux albums (trouvés pendant les stages), mais vend également de nombreuses choses, moyennant finances (sachant qu'ici ce sont des rings comme dans Sonic, mais qui s'appellent auréoles). On pourra acheter des techniques, et également des réserves de vie et de magie (en nombre limité). Le jeu étant très difficile, acheter quelques réserves de vie rapidement est une bonne solution.

On pourra également trouver des fragments de coeur et de pierre dans les stages. Ils seront souvent bien cachés, et il faudra en trouver quatre pour les coeurs afin d'augmenter sa jauge de vie, et deux pour les pierres, qui augmenteront alors la jauge de magie. Particulièrement bien cachés, des portails vers Alfheim seront également présents. Ils mettront le joueur à l'épreuve dans une arène où il faudra remplir des objectifs précis, toujours dans le but de débloquer l'un des précieux fragments. Certains objectifs seront difficiles à atteindre, comme par exemple le fait d'effectuer un certain nombre d'attaques sadiques. En effet, la jauge diminue fortement dès que l'on prend un coup, et pour la faire monter il faut effectuer des combos assez longs.

Heureusement le jeu permet de refaire n'importe quel niveau autant de fois qu'on le veut, et il sera surement indispensable de le faire un peu, car terminer le jeu d'une traite est assez difficile. Parmi les autres choses proposées par le jeu, on notera la possibilité de faire des sucettes (Bayonetta adore les sucettes) avec des ingrédients trouvés dans les niveaux. Ces sucettes, que l'on peut aussi acheter, servent à récupérer de la vie, de la magie, augmentent l'attaque temporairement etc... Tout cela est au final assez peu intéressant pour qui cherche à faire de bons scores, car leur utilisation réduit le score final, tout comme le fait de mourir.

Do you want to touch me ?

Si jusqu'à présent tout peut sembler radieux, Bayonetta est malheureusement victime du syndrome des jeux Sega (du moins de beaucoup de jeux Sega) : sa réalisation manque de finition. Cette version Playstation 3 souffre de nombreuses faiblesses. La première concerne la fluidité de l'action, qui est à revoir dans les cut-scenes. On a souvent du mal à voir clairement ce qu'il se passe. Fort heureusement, le jeu en lui-même ne souffre pas de ralentissements ou de baisses trop importantes du framerate puisque j'ai pu le terminer sans ressentir de gêne à ce niveau là. Un autre point noir concerne les temps de chargements, franchement très longs. Heureusement pendant ces derniers on peut s'entrainer et faire quelques coups. Enfin si visuellement le titre est très agréable, il n'est pas au niveau des grosses exclues du support.

À la question Bayonetta est-il un jeu Sega ? La réponse à donner est clairement : oui, c'est du 100% Sega. Le jeu comporte des tonnes de clins d'oeil, et même carrément deux stages entiers qui sont des passages d'arcade fou-furieux, et qui sont à chaque fois des références à des grands hits de Sega. Pour ne pas les citer : Hang-On, Outrun, Space Harrier et After Burner. On entendra d'ailleurs très souvent des musiques de ces jeux là dans le titre. Et l'ensemble ne fait pas tâche du tout au milieu de l'expérience globale, mais contribue au contraire au fun général qui se dégage du titre.

Je terminerai sur la bande-son tout simplement fantastique du titre. Des thèmes très j-pop avec une chanteuse accompagneront le joueur lors des phases de combats, tandis que ce seront de vrais morceaux orchestraux, avec orgue bien souvent, qui ponctueront les joutes contre les boss. D'ailleurs, sachez que les quatre vertues cardinales seront ici représentées par des boss absolument déments, alliant des phases de gameplay incroyablement variées. Et leur design est en plus excellent. Pour voir le bout du jeu, il faudra environ une quinzaine d'heures, et les contenus à débloquer sont extrêmement nombreux, avec notamment des tenues assez sympathiques et des galeries très complètes.

Sega a eu raison de partir all-in avec Bayonetta. Le titre est un véritable déluge visuel, tandis que son gameplay est parfaitement irréprochable. Quand on assiste à certaines scènes, on se demande parfois comment les développeurs ont réussi à arriver à ce résultat. Le jeu surprend constamment, et on ne peut plus décrocher. Mais là où il tire son épingle du jeu, c'est par le fait qu'il est clairement long et propose un niveau de rejouabilité très élevé. Malgré ses quelques faiblesses techniques, on aurait vraiment tort de passer à côté d'un beat'em all d'une telle intensité.

Note sur notre version euro (par Haneda)

Malgré des engagements de Sega et quelques espoirs que Bayonetta soit un peu amélioré entre la sortie japonaise et occidentale, il n'en est rien et même un patch ne pourrait pas gommer le décalage entre la version 360 et PS3. Il reste ainsi des temps de chargements fréquents qu'une installation aurait peut être pu compenser, et un frame rate qui atteint rarement les 30 fps. Une fois cela dit, Bayonetta est tout de même un jeu souvent magnifique et un indispensable sur PS3. Le plaisir à manier la belle est jouissif avec son animation extraordinaire, et sa fabuleuse palette de combos.

Déjà sous-titré en français en version japonaise, le jeu conserve également le classement en ligne pour comparer ses temps et combos avec les autres joueurs.

Verdict

8

Points forts

  • Gameplay irréprochable
  • Level-design incroyable
  • Long et difficile
  • Bonne rejouabilité
  • Bande-son et design des monstres réussis

Points faibles

  • Manque de fluidité dans les cut-scenes
  • Loadings trop longs
  • QTE pénibles au départ
Avis des joueurs :
Note moyenne Nb avis
Playstation 3 9.3 4

Archives commentaires

bko, 16 nov 2009 - 7:36
Superbe test ! et sans surprise concernant la qualité au vu de ce qu'on avait pu lire avant. Le 9 sera pour la version 360 hein spin :)
bon test d'un non convaincu par la sorciere SM les premiers temps....en gros il faut s'y mettre pour accrocher et mettre de cote l'aspect provoc de la donzelle.
BKO: Spin se lachera grave avec un 10.^^
Si vous ne pouvez pas le prendre sur 360, il ne faut pas pour autant hésiter même une seule seconde à le prendre sur PS3, croyez moi ;)
yohko kurama, 17 nov 2009 - 6:22
Comme BULLITT le perso me rebute assez en réalité. Bon à voir si je peux pousser plus l'expérience un jour.
encore un test hyper complet dans lequel j'ai appris beaucoup de choses. Par contre cette profusion de QTE dans les jeux d'action commence à me fatiguer, surtout que je suis une quiche à ce niveau là . Crise de nerf certainement à l'horizon... Mais bon, je ne vais pas bouder mon plaisir, le jeu sera mien la semaine prochaine, mais sur 360. A quand le test d'ailleurs ??? :D
Rage, 09 jan 2010 - 10:25
Celui qui n'a que la PS3 devrait juste se demander si le jeu est génial ou pas or sur PS3 la réponse de ce test est clair et c'est OUI...

La comparaison est le luxe de ceux qui ont le choix, soit très peu d'élus.
Je me demande ce qui aurait été dit si le jeu était sorti à l'epoque DC/PS2, voir SAT/PS... Mais bon, c'est une autre histoire!
Rage, 10 jan 2010 - 2:59
Non mais moi je suis pour des tests différents quand il y a des versions différentes. C'est le cas de WipeOut 2097 à l'époque avec plus de mode 2J sur Saturn ... Mais Tomb Raider par exemple était soit disant plus coloré, polygonisé, et en français sur PS mais les différences étaient peu visible donc mêmes notes ...

Bayonetta c'est pareil à Tomb Raider à l'époque ... Un excellent jeu qui reste excellent sur les deux supports. Le fun de jeu est là sur les deux ... Après si on a un gouffre je veux bien ...
bko, 10 jan 2010 - 4:13
Oui je suis d'accord avec toi Rage, le jeu est le même mais perso ca me ferait trop chier de savoir que sur 360 le jeu est plus fluide, plus beau (la vidéo comparative montre une différence assez importante) moins d'aliasing , moins de chargements... Mais bon au final l'intérêt est d'abord aussi son univers, son perso, son gameplay... et ca c'est pareil sur les 2 versions.
Ouai enfin bon, quand tu joues au jeu tu t'en fous bien des éventuelles différences, surtout quand c'est aussi léger.

De toute façon, les versions étant testées par des membres différents de la team, ça sera des opinions différentes que vous aurez, et non pas un comparatif. Comme pour les tests précédents (Sonic Unleashed par exemple).
bko, 10 jan 2010 - 7:30
Le joueur PS3 minimisera la différence, le joueur 360 l'accentuera, c'est logique. Les inferior version PS3 sont souvent légèrement en dessous mais pour Bayonetta, pour avoir vu la vidéo comparative, la différence est plus que flagrante au niveau graphique, les textures sont carrément moins belles et détaillées, je vois pas comment on peut dire que la différence est légère...
Comme l'explique Cireza juste au dessus vu que chacun ne joue qu'avec sa version bah il ne peut pas comparer avec l'autre console. Après pour les vidéos tout le monde ne les regarde pas, moi le premier. ^^
J'ai vu la même vidéo que toi, et je suis arrivé à la conclusion que la différence était sans importance.

Je suis donc un gros fanboy Sony ? J'en ai pourtant absolument rien à carrer du succès ou non des consoles Sony, Microsoft ou ce que tu veux. Et je reconnais volontiers que la version 360 soi mieux. J'ai d'ailleurs mis 8 et non 9 au jeu à cause de ses faiblesses techniques. La version 360 est-elle tellement mieux ? Mouaif !

Comme toujours, ce ne sont que des avis ultra subjectifs. De nombreux sites disent qu'il y a des différences, et de nombreux sites disent que non. Idem des joueurs. Au final c'est une perte de temps totalement ridicule et grotesque.
bko, 10 jan 2010 - 9:31
De toute façon, jamais une différence technique (sauf handicapante) ne changera la qualité d'un jeu dans sa conception et son gameplay. Après pour celui qui a les 2 consoles, il aurait tord de se priver d'un jeu avec moins de loading, plus fluide et plus beau. Mais je rejoint ton avis ou le joueur aura la même expérience et le même plaisir sur les 2 consoles.
Merci pour le test. Rage. Dans tomb raider sur Saturn il y a un stage ou un passage secret est supprimé. Il est donc impossible de faire le jeu a 100% puisqu'à la fin du niveau il manquera toujours un stage. Sinon Bayo jouez y avec 2 ecrans pareils et une manette dans chaque main. Vous allez vois le jeu devient moins bon surtout la maniabilité. J'ai eu du mal à tenir les 2 manettes avec mes mains et jouer sur les 2 écrans. Par contre je peux dire que quand je regardais la version ps3 je voyais rien sur la version Xbox 360...
Rage, 11 jan 2010 - 12:49
Sérieux pour Tomb Raider Saturn!! De mémoire j'avais trouvé absolument tous les secrets (sinon j'aurai péter un câble s'il en avait manqué un) ...

Mouais il y a des différences on l'a compris, mais c'est vrai que depuis que je suis plus un fan d'un support particulier (depuis 2001 quoi) ce genre de recherche du pixel perdu ...
C'est fou ce qu'une petite remarque entraine comme débat, assez intéressant en plus je dois dire, peut-être une idée de topic?
Rage, 11 jan 2010 - 1:55
Mais bon si on ne peut pas discuter de tout et partager des avis divers ce serait dommage quand même ...

En plus comme l'a fait remarquer enkhyl un tel débat n'est pas nouveau ...
Rage. Il me semblait que c'était le niveau presque entierement sous l'eau. Le 14 ou 15... Sinon les comparatifs c'est marrant pour faire le con mais sérieux quand tu joues à un jeu t'as qu'une manette en main et ton jeu quel que soit le support et ca empeche pas de kiffer^^