Test : Phantasy Star Online 2 (Windows)

Le premier Phantasy Star, quand on y songe, c'est un peu l'équivalent console de L'Arche du Capitaine Blood. C'est-à-dire de la science-fiction à la hauteur des systèmes stellaires, avec tout l'espace à portée de clic, pas de la petite fantasy de touristes. Quand il est apparu, la guerre des étoiles, telle qu'on pouvait la vivre, se limitait, en gros, aux séances de tirs dans les shooting game... Phantasy Star convie à passer ces interminables séances de voyages spatiaux à scrolling horizontal ou vertical pour se concentrer directement sur l'exploration des planètes habitables, qui ont leur propre histoire, chacune, et c'est ça Phantasy Star : de la sci-fi avec un arrière-fond qui sous-tend l'épaisseur d'un Frank Herbert.

Trente ans plus tard, dans le genre de cette envergure narrative en jeu vidéo, on n'a guère vu autre que Mass Effect, ce qui n'est pas peu dire... Quant à la refonte en 3D de la série, elle coïncide avec la première vague de la nouvelle génération (on jouait en ligne pour la première fois sur console de salon). Après une nouvelle attente de plusieurs années, la suite de Phantasy Star Online est publiée au Pays du Soleil Levant, et sur PC ! Une version américaine est prévue l'année suivante, mais Sega n'avait pas très envie de traduire le jeu en de multiples langues ni de supporter l'effort de distribution en occident, alors le titre y sera disponible uniquement en free-to-play et traduit dans la langue de James Joyce.

La saga du jeu de rôle

Phantasy Star décrit une longue saga qui a pour habitude de nous mettre aux commandes d'une troupe d'aventuriers (rebelles, soldats ou chasseurs de primes), à l'époque de la conquête spatiale. La franchise est apparue la même année que Zelda et Final Fantasy. À l'image de ce dernier, elle était une réponse au Dragon Quest d'Enix. Trois autres volets suivent, dont le quatrième opus, sous-titré " la fin du millénaire ". C'est l'époque des jeux de rôle canoniques, qui se disputent au tour par tour et où l'on peut incarner quatre à cinq personnages, à l'image de Tengai Makyô ou Shin Megami Tensei.

Les quatre premiers volets racontent l'histoire d'un système stellaire, sur plusieurs millénaires. Ensuite, chaque nouvelle itération se situe dans un nouveau système et la dimension des planètes s'agrandit, comme les affinités entre les personnages. En revanche, on retrouve dans tous les jeux de la série, une puissance occulte qui menace l'évolution de l'espèce et revient toujours à la fin : Dark Falz. Dans PSO2 cependant, Dark Falz ne représente plus qu'une émanation de Profund Darkness.

Une compilation des quatre premiers jeux est ensuite publiée sur Saturn, mais cette dernière ne connaît pas de nouveau volet. La saga brille par son absence sur la scène rôliste, à une époque où le genre se démocratise en occident. Tandis que la série des Final Fantasy atteint son apogée, la fin du millénaire approche. Sega jette ses dernières forces dans la bataille qui l'oppose à Sony et Nintendo et cherche un jeu qui saurait mettre en valeur les possibilités de sa nouvelle machine à l'épreuve d'internet.

Le résultat se présente comme un jeu d'action qui conserve les spécificités cardinales de la série, comme les éléments de RPG, tout en puisant son inspiration dans les jeux de rôle en réseau déjà existants sur PC. On découvre la possibilité d'interagir avec des joueurs situés à des milliers de kilomètres et celle de composer avec des milliers de héros pour sauver le monde.... Près de vingt ans plus tard, une poignée de fans érudits parvient encore à se connecter à partir de leur console. Pourtant les trois serveurs qui permettaient de rejoindre la toile ont été fermés en 2012, le moment choisi par Sega pour fêter les dix ans de PSO et publier une suite, censée couvrir une nouvelle décennie de jeu de rôle.

Il était une fois dans une galaxie lointaine

" La flotte interstellaire "ORACLE" voyage à travers l'univers. De nouvelles aventures attendent les joueurs sur des planètes inconnues. L'invasion d'une existence maléfique envahit l'Espace. Ceux qui s'y opposent ont pour nom les "ARKS". L'univers sera-t-il sauvé, ou envahi ? Seuls des héros pourront sauver le futur. " Le plot initial, tel qu'il nous est relaté à l'époque par le teaser officiel, se veut accrocheur en même temps que facile d'accès. Les ARKS constituent des groupes de soldats pacificateurs, dont la mission consiste à explorer les mondes habitables au fur et à mesure de leur découverte, en plein cœur des systèmes. Les ARKS voyagent à la rencontre de ces mondes inconnus à l'aide de ORACLE, une flotte interstellaire ralliée à la cause du progrès scientifique et du développement de la civilisation.

La menace qui se dresse devant ORACLE est une extraction de créatures obscures, les Darkers, qui appartiennent à Profund Darkness, une émanation cosmique qui enveloppe l'univers dans les ténèbres. Les ARKS ont été créés afin d'en découdre avec le danger que fait planer cette entité maléfique sur les planètes nouvellement civilisées. À eux de voyager à travers les astres, là où la menace des Darkers peut être détecté, en manipulant les Photons, une sorte d'énergie magique qui constitue le moyen de les éliminer... Le joueur incarne un ARK, créé de toutes pièces à partir d'un éditeur de personnage, qui permet de le personnaliser sous toutes les coutures. Après quoi, le jeu déroule l'introduction et on entre dans le vif du sujet avec la première mission, qui tient lieu de tutoriel pour assimiler quelques commandes et se familiariser avec l'environnement.

Le gameplay se focalise à la fois sur l'immersion et l'exploration (ramasser des objets, actionner des mécanismes) ainsi que sur la quête de puissance, ce qui signifie tuer des monstres de plus en plus forts, en suivant l'évolution de ses statistiques et celle de son équipement. Entre les missions, on se retrouve sur Arks Ship, un des vaisseaux de la flotte ORACLE, qui constitue une véritable ville flottante dans l'espace. C'est depuis cet endroit que l'on peut choisir d'exécuter une nouvelle mission ou se tenir informer des objectifs de la quête en cours. On y trouve également des magasins pour acheter de l'équipement, des objets curatifs et de quoi stocker ou revendre son butin.

Mais le plus important demeure qu'il s'agit du lieu de rencontre avec les autres avatars, que l'on peut aborder pour se décider à former une équipe et progresser à plusieurs, même s'il est possible d'alterner avec la pratique du jeu en solo. On reconnaît un tableau similaire à celui qui composait le premier volet et ceux qui ont joué à PSO ne seront pas trop dépaysés, puisque l'on agissait à partir d'un vaisseau en approche d'une planète semblable à la Terre, après que la civilisation eut épuisé les ressources du monde d'origine.

Une odyssée de l'espace

Une fois de plus, il s'agit de parcourir les planètes aux confins de la galaxie et on profite du voyage avec des gens connectés à l'autre bout de la planète, en étant équipés de fusils, d'épées laser et de la magie. Le jeu commence quand le héros créé par le joueur sort d'un profond sommeil léthargique, qui lui a fait perdre la mémoire. On l'informe que deux années auparavant, au cours d'une mission sur la planète Naberius, il est parvenu à anéantir Profund Darkness et à libérer une personne emprisonnée. Cependant, pour mener à bien cette mission, Persona, un de ses compagnons, a du se sacrifier et devenir le nouvel otage de l'entité. L'intrigue laisse place à un éternel recommencement, il s'agit de vaincre Profund Darkness, à nouveau, et libérer Persona.

Il est temps de prendre les commandes avant de parcourir la première zone de la planète Naberius. Chaque zone est constituée de quêtes accessibles depuis l'Arks Ship (tuer un certain monstre, récupérer les données d'un spécimen, obtenir un objet spécifique,...). La plupart sont des quêtes annexes qui servent à engranger des récompenses, comme des points d'expérience et de l'argent. En plus de ces missions secondaires, il est possible de suivre la quête principale et d'explorer une zone dans son intégralité. Celle-ci se termine par un affrontement avec le chef des Darkers, c'est à dire un boss. C'est le moment choisi pour faire avancer le scénario au moyen de quelque cinématique, après quoi une nouvelle zone devient accessible et ainsi de suite.

Comme les missions sont régulièrement interrompues par une cinématique qui distille un peu de bla-bla pour faire avancer le scénario et que celles-ci sont bien plus nombreuses que dans le premier PSO, nous sommes face à un jeu beaucoup plus étoffé niveau scénario que ne l'était la première mouture (où il n'y avait que quatre zones en tout, et encore, les véritables rebondissements n'intervenaient qu'au moment d'atteindre le quatrième niveau). Il reste que le jeu s'ouvre sur deux des clichés les plus immanents au jeu vidéo (une fille à délivrer et un héros amnésique), là où le premier PSO présentait une toile de fond très pertinente (en germe d'anticipation, un lointain écho au futur de notre planète) et laissait ensuite la part belle aux suppositions (est-ce une I.A ou quelque chose d'organique ?), bref on laissait plutôt au joueur la possibilité de se faire son propre film.

Pourtant, le scénario ne pêche pas par mauvaise grâce, il laisse aussi le joueur donner libre cours à son imagination (par exemple, l'intervention d'un trou noir est traité avec suffisamment de sérieux pour lui donner une touche de crédibilité). Ce sont plutôt les cut-scenes de parlotte entre les héros, orientées sur les sentiments, et le découpage des scènes d'action, portées avec beaucoup d'emphase, qui ramènent le jeu au rang de shônen manga interactif (plus que d'habitude, Final Fantasy est passé par là). D'autre part, le scénario (intégralement en anglais) confuse le joueur devant sa complexité, ce qui ramène le plus souvent l'idée d'une histoire cohérente au rang de prétexte, pour plus de joutes massives sur les terrains escarpés et la chasse aux objets rares dans un champ d'exploration toujours renouvelé.

Highway Star

Entendons nous, d'habitude dans un RPG, l'enchaînement des combats pour faire le plein d'expérience est régulièrement ponctué de scénettes d'action ou de parlotte plus ou moins longues distillant un semblant de scénario. Puis on repart écumer les plaines, souterrains ou hautes montagnes. Seulement ensuite, comme dans les Final Fantasy, il y a ce moment plus avancé dans le jeu où l'on peut s'éloigner de la trame principale pour explorer un monde ouvert d'une part, ainsi que s'adonner à la recherche d'objets rares et à la quête de puissance d'autre part. C'est une possibilité incluse juste avant de progresser vers les dernières parties du jeu. Dans Phantasy Star Online 2, le scénario s'affirme rapidement puis avance régulièrement. Pourtant, la fibre de la jouabilité, celle qui est au cœur du jeu, consiste à amasser de l'expérience et faire des allers-retours pour alimenter sa collecte d'objets comme dans un Diablo (et ce qu'on appelle les dungeon-rpg sur console). S'il y a plus de niveaux et de décors différents à découvrir que dans le premier PSO, les petites histoires des nombreuses quêtes intermédiaires qui se succèdent se résument à décrire la vie des mercenaires sur un terrain de jeu à approfondir sans cesse.

Le jeu est joli tout plein graphiquement et permet la contemplation de paysages bucoliques, mais la seule addiction aux mécaniques du gameplay et la quête de puissance finissent par prendre le dessus, longtemps après qu'on soit lassé ou que l'on devienne carrément résigné (le jeu est un brin répétitif et la durée de vie effective est énorme). On s'accoutume alors aux petites habitudes de la chasse aux monstres, avec pour seule finitude la sourde et lente customisation de son personnage. L'exploration vagabonde s'éparpille dans la routine des montées de niveaux, longtemps avant qu'émergent révélations et rebondissements éclairés, ceux qui peuvent être un tant soit peu attendus tout au long d'une partie. Il y a beaucoup à apprécier, de l'engouement du postulat de départ et le simple émerveillement visuel, à l'action juste trépidante, qui permet de vivre pleinement sa petite vie de mercenaire de l'espace


Les gardiens de la galaxie

Quatre races différentes cohabitent parmi les ARKS, réparties parmi dix corps de métiers. En plus des humains, on compte une race elfique (les Newman) et des androïdes (les CAST), bien connus des joueurs du premier PSO. Les Dewmans (humains cornus), eux, constituent une nouveauté propre à cette séquelle. Quant aux classes de personnages, elles s'orientent à nouveau autour de trois spécialités (dégâts de mêlée, à distance ou bien attaques magiques) ainsi que vers trois nouvelles classes hybrides qui combinent l'une et l'autre de ces spécialités (les autres classes sont à découvrir).

Quelques améliorations de gameplay permettent à la jouabilité de gagner en fluidité. On peut enfin se déplacer en effectuant un saut, ou bien accomplir une jolie roulade pour esquiver une frappe ou un tir. Ensuite, cette suite augmente le nombre de joueurs en simultané et on peut désormais se défouler jusqu'à douze dans une partie multi-joueur, avec à la clé un défouloir épique contre les boss. Le système de combat est simple, il se résume à trois touches auxquelles assigner trois compétences avancées, tandis que presser une gâchette avant de frapper ces mêmes touches octroie l'effet de trois nouvelles techniques à assigner. Les combats, bien que frénétiques, peuvent être assez répétitifs, et assez proches d'un shoot ou d'un beat'em up, selon la classe de notre personnage.

Ce qui est frappant dans cette suite, c'est le nombre impressionnant de quêtes disponibles. Outre les missions secondaires "classiques" et celles de la quête principale, évoquées plus haut, on retrouve de nombreux tutoriels ou training quests qui rapportent leur lot d'expérience. Il existe aussi un système de contrats à définir, en parlant avec la plupart des PNJ présents sur l'Arks Ship. Ces derniers demandent d'accomplir un événement (tuer dix monstres avec tel type d'arme, se présenter à eux après avoir changé de classe,...), ce qui peut paraître rébarbatif, étant donné que cela demande de modifier les propriétés de son avatar ou d'effectuer quelques allers-retours sur le terrain.

Les protagonistes concernés par ces missions sont vraiment nombreux et il y a plusieurs demandes à traiter par personnage, donc assurer la bonne marche de ces "petites" missions prend un certain temps. Ces missions s'avèrent néanmoins richement dotées en points d'expérience, ce qui pousse le joueur à en faire plus et à cumuler les requêtes des clients sur l'Arks Ship. Si vous ajoutez des featured quests, qui sont quotidiennement mises à jour par Sega et des bonus quests, qui ressemblent aux missions annexes auxquelles nous a habitué le premier volet, vous obtenez un jeu à la durée de vie très importante.

Si le jeu multiplie la quantité de quêtes à effectuer, sans courir le risque de lasser le joueur, c'est parce que le nombre de zones à explorer dans cette séquelle a lui aussi décuplé. Pas moins de seize zones sont disponibles, réparties sur un ensemble de sept planètes, où l'on peut vagabonder tout à sa guise. Ce chiffre est cependant en perpétuelle extension car devant le succès rencontré par le titre, les développeurs ne se sont pas encore décidés à mettre un point final à l'histoire de PSO2, jeu massivement multijoueur oblige. On peut se contenter d'imaginer que s'il y a trois zones par planètes à visiter (comme c'est le cas des quatre premières planètes), ceci porterait le nombre total de niveaux à une bonne vingtaine. La multitude des zones à découvrir possède son lot de surprises et on passe d'une planète à l'autre avec une égale facilité d'immersion devant la variété des environnements.


L'étoile du rêve

Reprenons depuis le début: PSO2 est une suite limpide du premier épisode, à la sauce troisième millénaire et gonflée d'effets spéciaux transcendants. Phantasy Star Online c'est aussi World of Warcraft plus Diablo version science-fiction. Une sci-fi si chèrement japonaise à la Nintendo quand ils sortaient leur meilleur sur les Metroid, sur GameCube ou Super Nintendo.

Le premier PSO a marqué son époque parce que c'était le premier jeu massivement multijoueur auquel les joueurs purent s'essayer sur console, qui plus est avec une interface impeccable. Une décennie plus tard, la pratique du jeu en ligne est devenue monnaie courante et tous les genres sont représentés. Parmi eux, le jeu de rôle fait bonne figure en appliquant ses vieilles recettes au principe du MMO. Avec la généralisation d'internet, le cercle des joueurs susceptibles de s'abonner s'est agrandi et les références recensées sont devenues très nombreuses. Tout le monde veut créer son propre World of Warcraft ou son Monster Hunter. Du coup, quand la suite de PSO2 paraît en 2012, elle porte sur ses épaules un titre chargé d'histoire et assez connu dans le milieu (donc porteur), mais l'offre dans le domaine s'étant démultipliée au point de se disperser, elle ne représente qu'un MMORPG de plus sur un marché saturé de toutes parts. Après les 700 000 abonnés de Phantasy Star Online, Sega a publié une autre déclinaison de la franchise (Phantasy Star Universe en 2003), également jouable en ligne, mais qui s'est faite relativement discrète en Occident.

Les clichés ont la vie dure et le déclin du jeu vidéo japonais en occident est venu s'ajouter à la saturation du genre MMORPG. Du coup, PSO2 ne sera véritablement supporté par Sega qu'au Japon, avec une sortie en boîte et en téléchargement. Partout ailleurs, le jeu est disponible en free-to-play. La parution de PSO2 est donc devenue une question pratique, Sega s'est décidé à faire un cadeau aux fans du premier épisode et le jeu est tout simplement gratuit. Vous avez bien lu, aussi gratuit que Fortnite ou ces applications Facebook qui n'ont pas demandé le même degré de travail et de finition. Ou comment un tel jeu devient de la publicité déguisée pour Sega, comme devait l'être en son temps une mascotte qui ne manque pas de piquant...

Qu'ajouter à ce sympathique tableau ? Cette série est un des plus gros succès d'estime de Sega. Peut-être le seul qui ne se soit jamais vautré dans les ventes, sans toutefois parvenir à toucher pleinement le grand public, en tout cas pas à l'époque où les jeux sortaient chez nous traduits uniquement en anglais. Les choses n'ont pas évolué tant que ça et après un PSO intégralement en français, seul un patch anglais est disponible. Certaines lignes de textes demeurent en japonais mais qu'importe. Phantasy Star se fait rare en occident, où Final Fantasy a pour longtemps raflé le gros morceau dans la représentation du style et l'inconscient collectif. L'essentiel demeure finalement tout le potentiel d'un jeu de sa trempe, juste énorme.

Voici un tuto simple pour télécharger ce jeu. Il n'y a rien de bien compliqué, sauf au moment où il s'agit de se créer un compte Sega car tout est en japonais et il faut recopier des idéogrammes à deux reprises. Ce lien devrait permettre de vous aider si vous bloquez sur cette partie.

Verdict

8

Points forts

  • La grande saga du jeu de rôle
  • Interface impeccable
  • Rapidité d'exécution
  • Richesse du scénario
  • Durée de vie quasi-infinie
  • La diversité des classes et compétences

Points faibles

  • L'inscription sur un compte Sega est en japonais...
  • ...il faut donc s'armer de patience avec les tutos.
  • Un brin répétitif en solo
Avis des joueurs :
Note moyenne Nb avis
Windows 10.0 2

Commentaires

Ouais je l'ai fait à l'époque sur Vita, je devais me douter qu'on se ferai avoir! Quel gà¢chis... Je vais me le retélécharger maintenant qu'il est en anglais, le test m'a chauffé!
Rage, 15 mai 2019 - 2:22
Merci pour ce test d'un jeu que je n'ai jamais fait ... Va falloir que je m'y mette aussi ...
je suis allergique aux MMO et je ne joue pas sur PC, donc autant dire que je vais passer mon chemin. J'avais fait le 1er sur Dreamcast par curiosité mais j'ai été tellement déçu de ne pas y avoir retrouvé un bon vieux RPG que je l'ai boudé totalement ...
En tout cas merci pour ce test complet d'un jeu qui a réussi à traverser les années et qui comptent toujours son lot de fans. Preuve s'il en est que c'est un jeu vraiment réussi ;)