Encore plus beau que son aîné mais moins stylé (et sans les scrollings de fond...), cet opus ralentit le rythme pour permettre de dialoguer, déverrouiller des mécanismes, explorer... Tout cela est prometteur, mais complètement sabordé par une difficulté sans nom qui cache une durée de vie famélique. En fait on ne sait ni où aller ni quoi faire, et le moindre ennemi (qui reviendra à chaque demi-tour) peut nous tuer en un rien de temps, le tout avec une seule vie au compteur. Un beau gâchis.