Par les dieux que j'adore ce jeu! J'avais bien accrocher le premier mais sans plus, ce second volet en revanche est pour moi bien meilleur, il est tous simplement génial! c'est beau, c'est fun, gameplay excellent, contenu riche, musiques sublimes, bref tout est parfait, à 4 c'est l'extase, un grand écran est cependant conseiller pour des parties multijoueurs, je le préfère nettement au premier. A mes yeux c'est un hit, aller j'y retourne^^
Je n'avais pas du tout adhéré à cette suite de Power Stone. Bien que le principe de base soit le même et que le jeu soit très (trop) similaire à son prédécesseur, le plaisir est moindre, à cause d'une action encore plus brouillonne. Résultat, on se lasse encore plus vite de cet opus, l'effet de surprise ne jouant plus. Reste le multi-joueur, le jeu ne vaut d'ailleurs que pour ça. Là par contre, c'est l'éclate, mais il n'empêche que globalement ce titre ne vaut pas le 1er épisode.
Je trouve le jeu bien plus riche et fun que le premier opus.Le mode solo qui était juste passable dans la pré-quelle devient plus intéressant(sans toute fois être la force du titre)de par la forme des arènes et le combat à 4 joueurs.
Il est loin de la précision de nombreux autres titres estampillés Capcom, mais le but étant de faire un jeu de mêlée, le pari est réussi.
Un titre certes un poil brouillon (surtout sur un 36cm), mais coloré et ultra fun. La durée de vie du titre est conséquente grâce au mode quête et a ses nombreux...
Power Stone 2 fut pour moi une belle déception. Le premier volet reste de très loin bien meilleur à mon goût. En voulant innover, Capcom a rendu sa copie beaucoup trop brouillonne, avec un système qui ne fonctionne pas si bien que ça. Certes, ça pète dans tous les sens et ça reste joli, mais c'est un jeu qui m'a tenu en haleine que très peu de temps. En fait, en y réfléchissant bien, je ne le connais pas tant que ça car je l'ai vite revendu. Les goûts et les couleurs.
Plus beau que le premier avec des arènes plus grande et plus sympa, ce jeu ne m'a toujours pas convaincu. Je ne dois pas être fan de ce type d'affrontement "foure tout". Je comprends mieux aujourd'hui pourquoi les jeux comme Super smash brawl mêlé me sont totalement indifférents.
A essayer pour ceux qui ne voient que par le Multijoueur.
N'ayant pas acheté le premier du nom, je me suis précipité pour acheter cette épisode...
Et quelle ne fût pas la claque que j'ai pris dès mes premières parties... Des attaques à tout va... En veux-tu... En voilà !
Les combats sont si bordeliques que ça en fait tout son charme, mais le fun se multiplie bien évidemment en multi-joueurs, car les combats peuvent se faire à quatre !!!
Définitivement mon jeu de baston préféré sur la boîte à rêves...
Toujours aussi décalé , toujours aussi fun , le charme de power stone agit toujours dans ce second épisode .Pourtant le premier reste mon préféré car même si le second apporte quelques nouveautés ( arênes plus grandes et pensées différemment ), il devient bien trop brouillon au point que par moment on ne sait plus trop ce qu'on fait où même ce qu'il faut faire.Dommage.
_Pour débloquer Pride, le père de Faucon:
Vous devez faire le mode Arcade (pas le 1 contre 1, ni l'original mode) et le terminer avec 7 personnages différents sans aucun paramètres spécifiques ce qui veut dire, que vous pouvez l'obtenir en faisant le niveau de difficulté le plus bas.
Son gameplay se rapproche de celui de Faucon mais avec quelques coups différents.
_Pour débloquer Mel, la vendeuse du magasin du jeu:
Vous devez finir le jeu avec Pride, toujours en mode Arcade pour la débloquer.
Son gameplay se rapproche de celui de Julia mais avec quelques coups différents.
Power Stone 2 est la suite du plus fantastique jeu de combat en 3D. Et quelle suite: davantage de personnages, une infinité d'armes originales, un graphisme vraiment impressionnant et l'incroyable possibilité de jouer à 4, pour 4 fois plus de fun !
Les combats sont hyper-rapides et d'une incroyable fluidité. Tous les coups sont permis et tous les objets du décor peuvent être utilisés : de l'action sans temps mort!
"Un coup de maître"
Dreamcast magazine